Beobank Home Secure PRO : la protection tout en un pour votre activité professionnelle
Avec Beobank Home Secure PRO, vous ne devez pas investir dans un système d’alarme et évitez les mauvaises surprises
Comme tout entrepreneur, vous faites face à une série de dépenses récurrentes. Dans la plupart des cas, vous pouvez prévoir quand et combien d’argent il faudra décaisser. Une aubaine ! Car vous pouvez donc anticiper et éviter de faire souffrir votre trésorerie. Vous vous souvenez peut-être de nos conseils pour bien gérer vos pécules de vacances ? Bonne nouvelle : l’approche est valable pour les primes de fin d’année.
Commençons par un peu de vocabulaire : le treizième mois (voir le quatorzième) est une prime de fin d’année, mais l’inverse n’est pas toujours vrai. Et pour cause, le « 13 ° » correspond exactement au salaire brut d’un mois entier. Comme cet extra est versé en plus du revenu de décembre, c’est une prime de… fin d’année. Pourquoi l’inverse n’est-il pas vrai ? Car vous pourriez choisir de verser une indemnité inférieure au salaire d’un mois entier. Par exemple, un pourcentage de la rémunération de décembre ou encore un montant forfaitaire. C’est donc une prime qui n’équivaut pas à un « salaire mensuel ».
Cela amène une autre question : la prime de fin d’année (que ce soit ou pas un treizième mois) est-elle imposée par la loi ? Cela dépend de votre secteur et des accords spécifiques négociés dans certaines conventions collectives. Toutefois, si cela n’est pas prévu, vous avez toujours le choix de verser un treizième mois à vos salariés (mais attention, ce choix peut alors devenir … une obligation. N’hésitez pas à prendre conseil avec un spécialiste en droit social et du travail). Rappelez-vous que, comme d’autres avantages extralégaux, la prime de fin d’année est un « outil » intéressant pour « compléter » le salaire. Un levier également utile pour garder vos talents ou en attirer d’autres…
Décembre sera donc un mois tendu pour votre trésorerie… Imaginez que vous deviez en plus régler une facture élevée de l’un de vos fournisseurs. Disposerez-vous de suffisamment de cash pour faire face à toutes ces dépenses ? Pour vous en assurer, vous pourriez décider de provisionner ces décaissements inévitables en mettant les sommes de côté. Une façon de prévenir les coups durs et d’anticiper les éventuels « trous » d’argent. Votre meilleur allié pour mettre ces provisions en place ? Un plan de trésorerie : celui-ci vous permet d’avoir une vision claire des entrées et sorties de cash, mois par mois.
S’il vous est impossible de provisionner ces futurs décaissements, pourquoi ne pas vous tourner vers votre banque ? En effet, la plupart des institutions bancaires proposent des crédits spécifiques pour financer des dépenses, telles que le treizième mois. Avec ce type de crédit, votre remboursement s’étale sur 12 mois. Vous ne devez donc pas débloquer de grosses sommes d’argent et vous préservez vos liquidités. Vous profiterez également du contexte actuel de taux d’intérêt bas... Les formalités administratives sont assez simples et vous pouvez déduire fiscalement les intérêts au titre de frais professionnels.
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