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3 leçons à tirer du confinement sur le télétravail

Que va-t-il rester du télétravail après la crise du coronavirus ?

Les mesures du confinement ont obligé une majorité de Belges à travailler depuis leur domicile. L’occasion aujourd’hui de tirer des leçons sur le homeworking.

Tout le monde s’y attendait et pourtant il a fallu s’y ajuster. Le confinement a été mis en place pour contrer la pandémie de coronavirus et tout le monde a été invité à travailler de chez soi, quand c’était possible. Trois mois après, quelles leçons peut-on tirer du homeworking pendant le confinement ? Faut-il systématiquement le proposer ou revenir à l’ancienne situation ?

Le télétravail est possible et efficace

C’est sans doute la plus grande leçon du confinement : « oui, travailler de son domicile est possible » et « non, homeworking ne veut pas dire jour de congé déguisé ». Les entreprises et dirigeants réticents au télétravail ont toujours eu cette forme de hantise, de croire que le télétravail permettait de ne rien faire. Pourtant, les tâches ont été effectuées pendant le confinement alors que de nombreux ménages avaient également des enfants (parfois en bas âge) à gérer en même temps. Malgré le stress engendré par la crise et le confinement, malgré un ajustement des conditions de travail, les travailleurs ont fait leur job.

Raccourcir le trajet plutôt que de toujours travailler à domicile

Encourager le télétravail ne veut pas forcément dire ne faire « que » du télétravail. L’esprit d’équipe, la collaboration et les tâches sont magnifiés par les relations au travail. Une enquête de Workero montrait d’ailleurs que près de 80% des Belges ne veulent pas travailler tout le temps à domicile mais plus proche de chez eux. La demande principale est donc de travailler à distance, dans des bureaux satellites ou dans des espaces de coworking par exemple. Quand on pense télétravail, on pense aussi mobilité. Les collaborateurs ne veulent pas forcément travailler de chez eux, ils veulent surtout passer moins de temps dans leur voiture ou les transports en commun.

Encourager le télétravail, ne pas l’imposer

Le homeworking, d’un à cinq jours par semaine, n’intéresse donc pas forcément tous les collaborateurs d’une entreprise. Une raison supplémentaire pour encourager le télétravail mais sans le généraliser, et encore moins l’imposer. L’une des solutions est plutôt de tout mettre en œuvre pour le faciliter (primes, matériel, outils…) pour ceux qui veulent en profiter et de mettre en place des bureaux satellites. Du côté des travailleurs, eux aussi doivent veiller à créer un environnement de travail optimal pour le télétravail régulier.

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