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Une impartialité qu’on ne retrouve pas ailleurs

Louise-Marie Delfosse: « Je n’ai pas eu à devenir une spécialiste de la bourse pour rester maître de mes investissements. »

Elle l’avoue sans détour, Louise-Marie Delfosse n’avait jamais entendu parler de l’architecture ouverte jusqu’à cette rencontre, il y a quelques mois, avec Elodie Boddin, sa conseillère Beobank. Comme nombre de clients, elle et son mari étaient à la recherche d’une formule d’investissement qui leur offre un bon rendement sans courir trop de risques.

 

Monsieur et madame Delfosse n’ont pas le profil du trader qui a les yeux rivés aux écrans où défilent les cours de bourse jour et nuit. Juste celui d’un couple qui a patiemment construit son épargne au fil des ans et de ses besoins. « Nous cherchions une formule intéressante, mais on ne trouvait pas notre bonheur. A chaque fois, le choix y était limité aux seuls produits de la banque que nous consultions. Et tous les produits proposés n’étaient pas attractifs », explique Louise-Marie Delfosse.

 

Atout premier
Elodie Boddin, conseillère en investissements Beobank, met le doigt sur ce qui fait la force de l’architecture ouverte : l’impartialité de la banque et l’indépendance des maisons de fonds vis-à-vis de celle-ci. « L’architecture ouverte, c’est vraiment la capacité pour le client de choisir une formule d’investissement adaptée à son profil, pas au profil de la banque. Nous leur proposons les produits des 12 maisons de fonds différentes avec lesquelles nous travaillons ».

 

Dans la pratique, les analystes de Beobank procèdent à une première sélection parmi les centaines de fonds présents sur les marchés, sur la base de critères quantitatifs et qualitatifs. Parmi les critères importants, citons la performance des fonds à court terme et surtout à long terme, mais aussi un screening qualitatif qui donne un aperçu détaillé de la structure de gestion des fonds d’investissement, la manière dont ils sont gérés et leur politique d’investissement.

 

Pour Elodie Boddin, « cela permet de définir un portefeuille de fonds élaboré en fonction des besoins du candidat-investisseur. Nous sélectionnons à chaque fois les meilleurs fonds répartis dans les différentes maisons de fonds ».

 

Profil, pédagogie et expertise
La définition du profil de l’investisseur est dès lors cruciale. « Il nous faut détecter les besoins du client, comment il se projette dans le futur. Nous devons donc nous faire une idée précise de sa situation financière, ses objectifs d’investissement, son attitude face au risque », indique Elodie Boddin, avant de préciser que des questions portent aussi sur la connaissance et l’expérience déjà acquises par le client pour ce type d’opérations. « On a rarement affaire à des clients très spécialisés dans la finance internationale. Et parfois, si c’est nécessaire, on peut aller jusqu’à expliquer ce qu’est une action, une obligation, un fonds d’actions ou un fonds obligataire ».

 

Ce travail de pédagogie ne s’arrête toutefois pas là. « Pour chaque profil, pour chaque fonds, nous expliquons en quoi ils consistent, comment les gestionnaires travaillent, en quoi le fonds proposé répond au profil, quels sont les risques liés à ces fonds, comment ils pourraient réagir face aux marchés pour être certains que le client décide en connaissance de cause ».

 

Une mise à jour régulière
Pour madame Delfosse, c’est un point important. « Je n’ai pas eu à devenir une spécialiste de la bourse pour rester maître de mes investissements, je peux me reposer sur ma conseillère qui, elle, suit ces fonds au quotidien. Il me suffit de m’intéresser à l’actualité internationale classique pour rester informée sur le contexte politique qui peut influencer telle ou telle décision ».

 

Pour les conseillers Beobank commence par contre un véritable travail de veille stratégique par rapport aux fonds sélectionnés. « Nous sommes chargés d‘analyser le portefeuille de nos clients et de faire le point avec eux au moins une fois par trimestre. Notre tâche est de surveiller l’évolution des marchés, de prévenir le client au cas où le portefeuille de fonds doit être adapté, ou d’expliquer tel mouvement sur tel marché mais au final c’est toujours le client qui prend la décision. C’est parce que nous jouons ce rôle d’alerte que nos clients, qui ne sont pas tous des spécialistes de la bourse, nous font confiance », nous dit Elodie Boddin. Pour madame Delfosse, l’architecture ouverte « nous a permis de vraiment choisir les bons produits financiers, tous azimuts, et de ne pas être limités à ceux proposés par une banque. Une manière de faire sien ce vieil adage qui veut qu’on ne mette pas tous ses oeufs dans le même panier »

 

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